Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : De nombreuses zones d’ombre subsistent…
Parmi les 239 passagers, il y avait quatre actionnaires chinois. A eux seuls, ils détenaient 80% des actions (20% chacun) d’une importante société américaine de semi-conducteurs, Freescale Semi-conducteurs, dont le siège principal se trouve à Austin dans le Texas américain. L’enjeu est de taille lorsqu’on sait que, dans le cas où un titulaire d’action meurt, ce sont les autres actionnaires qui récupèrent sa part pour se la partager. En l’occurrence, le cinquième actionnaire et dernier titulaire de cette société, n’est autre que Jacob Rothschild. Ainsi, il récupère 80% des parts des défunts !
Le multimilliardaire britannique appartient à la famille Rothschild qui est, depuis le XIXe siècle, l’une des familles de banquiers et financiers les plus influentes d’Europe. C’est cette famille qui a participé activement à l’usurpation des terres de la Palestine et s’est permis, entre autre, de s’acheter en catimini des propriétés et des terres palestiniennes pour construire des colonies et y implanter les premiers Juifs du projet sioniste.
À bord du vol, se trouvaient également 20 employés de cette même société américaine Freescale, 8 chinois et 12 malaisiens, selon le PDG du groupe, Gregg Lowe, alors que les médias traditionnels n’ont pas jugé bon de relayer cette information… Ces employés devaient se rendre en Chine pour une réunion d’affaire. Ingénieurs de haut niveau, ils sont liés à des contractants américains de la Défense, dans le domaine de l’armement électronique High Tech.
Pour en revenir à la société Freescale Semi-conducteurs, celle-ci se nommait autrefois Motorola Semi-conducteurs. Elle compte en plus de ses activités civiles, des activités électroniques militaires non affichées sur son site. Celui-ci se contente de présenter la société comme « leader mondial dans la conception et la fabrication de semi-conducteurs embarqués pour les marchés de l'automobile, de l'électronique grand public, de l'industrie des réseaux et des communications sans-fil ». Selon le site Agora vox, elle possède une équipe de spécialistes dédiée au support des forces de défense. Ses produits couvrent divers secteurs : communication sur le champ de bataille, avionique, bandes radar HF par L et S, guidage des missiles, guerre électronique, et identification ami ou ennemi (IFF).
Les nouvelles armes électroniques permettent le brouillage, l’aveuglement, l'assourdissement, de sorte qu'un avion pourrait disparaître des radars de détection si ses systèmes de sécurité ne sont pas activés. Au niveau du radar, les stratégies de contre-mesures électroniques basiques utilisées dans la guerre électronique sont les interférences radar, la modification des cibles et la modification des propriétés électriques de l'air. L'an dernier, il a été annoncé que la nouvelle technologie de la furtivité des avions les rendait invisibles non seulement au radar mais également à l'œil humain ! Ces nouvelles armes électroniques pourraient expliquer la « disparition » de l’avion pendant 15 jours !
L’entité sioniste connaît cette nouvelle technologie militaire et l’a déjà appliquée. Elle a développé une arme capable d'imiter un signal de maintenance qui commande au réseau des portables de « se mettre en veille », stoppant ainsi efficacement les transmissions. En 2007, l'armée syrienne en a eu un avant-goût quand les radars de défense aérienne du pays ont été trompés par les forces israéliennes. Dans un premier temps, elles ont fait en sorte de ne montrer aucun avion dans le ciel puis, l'instant d'après, les radars ont montré des centaines d'avions. Un rapport d'évaluation du renseignement américain a conclu qu'une attaque israélienne contre l'Iran irait bien au-delà des frappes aériennes avec des avions de combat et verrait probablement le déploiement d'armes électroniques contre le réseau électrique, l'Internet, les réseaux de téléphonie mobile et contre les fréquences d'urgence utilisées par les premiers secours iraniens !
Quoi qu’il en soit, de nombreuses questions restent sans réponse et le resteront encore longtemps. Les experts évoquent de plus en plus l’éventualité que le mystère du vol MH370 ne soit jamais élucidé… Pourquoi le Boeing a-t-il subitement changé de cap, une heure après son décollage de Kuala Lumpur pour repartir vers l'Ouest, à l'opposé de sa destination prévue (Pékin) ? Pour quelles raisons les systèmes de communication ont-ils été désactivés ? Comment se fait-il que l'avion ait ensuite volé pendant plus de sept heures, jusqu'à épuisement de son carburant ? Pourquoi aller se perdre aux confins du sud de l'océan Indien, loin de toute terre ? Ainsi, toute preuve physique a disparu et la localisation des boîtes noires dans l'immense zone de recherche, devient presque impossible. Quand bien même elles seraient récupérées, seules les conversations des deux dernières heures du vol sont gardées. Seul le DFDR (Digital flight data recorder, Enregistreur des données de vol numérique), s’il est récupéré, pourra fournir de précieuses informations puisqu’il enregistre tous les paramètres de vol (vitesse, altitude, etc.).
Trois scénarios ont été évoqués : le détournement de l’avion, un sabotage de la part d'un ou des deux pilotes, une crise soudaine qui rend incapables les pilotes et l'équipage d'agir, et laisse l'appareil en pilotage automatique jusqu'à la fin du vol.
Selon Chris Yates, expert dans l'industrie aéronautique, « il semble peu probable qu'on obtienne un jour, une explication. Pour le moment, nous n'avons aucune idée de l'état mental du pilote et du co-pilote, nous ne savons pas si quelqu'un a pu s'introduire dans le cockpit pour s'emparer des commandes et nous n'avons reçu aucune revendication », a-t-il déclaré à la BBC. La balise des boîtes noires va continuer d'émettre une quinzaine de jours environ. Si les boîtes noires ne sont pas retrouvées, « il est probable que nous ne sachions jamais ce qui s'est passé », estime Paul Yap, professeur à l'université polytechnique Temasek de Singapour. Quant à Jean Serrat, ancien commandant de bord réfute la thèse accidentelle sur le plateau de BFMTV : « Pour moi, cet avion a été détourné de manière absolument volontaire. On nous a donné une trajectoire au sol particulièrement précise […], on sent un envie de naviguer. Ce n'est pas un avion qui se déplace de manière aléatoire, donc oui cet avion a été détourné de sa route volontairement » !
Fin/229
27 mars 2014 - 14:57
Code d'info: 514928

Le vol MH370 de la Malaysia Airlines s’est écrasé dans l’océan Indien le 08 mars 2014. 15 jours après son étrange disparition, le Premier ministre malaisien annonce officiellement le crash du Boeing 777 et qu’aucun passager n’a survécu ! La dernière position de l'avion relevée est à l'ouest de la ville australienne de Perth, dans l'océan Indien.