Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : Les États-Unis avaient assassiné une personne qui avait contribué de manière significative à l'élimination du terrorisme, a déclaré Couso dans une interview avec Al Mayadeen.
Ce qui s'est passé est une attaque publique contre un commandant militaire officiel qui a été assassiné perfidement en Irak, a-t-il ajouté.
Soleimani était une personne très chère aux peuples qui ont souffert du fléau du terrorisme, a-t-il dit.
Il a également considéré que, avec le martyre de Soleimani, l'impérialisme avait pour objectif d'éliminer la résistance en général dans la région, et pas seulement de porter un simple coup à l'Iran.
Dans un contexte connexe, Couso a déclaré: "Nous étions au bord d'une guerre majeure et, en passant, nous devons féliciter l'Iran pour sa capacité à contenir et sa patience. Il a lancé une attaque mesurée en millimètres. Une attaque est un avertissement."
"Et l'Iran a pratiquement déclaré qu'il adopterait une politique à long terme pour expulser la présence américaine occupée dans cette partie du monde." Il a mentionné que le Hezbollah au Liban n'est pas un groupe terroriste, pas un groupe opérant en dehors de son pays, ou dans un contexte en dehors de la guerre, "donc il fonctionne selon ce que le droit international permet comme résistance légitime". Il a également souligné que le Hezbollah est une entité légitime, car il fait partie du gouvernement.
Concernant la récente attaque contre Telesur TV, Couso a déclaré: "La chaîne est une source de vérité. Elle était présente en Bolivie et en Equateur et est aujourd'hui présente au Chili".
Il a conclu en faisant référence à l'attaque menée par le gouvernement des États-Unis contre la gauche dans le monde, en disant: "Les États-Unis ne pardonnent pas aux gens de leur résistance".
Les forces terroristes américaines ont assassiné le général Soleimani et Abu Mahdi al-Mohandis, le commandant en second des unités de mobilisation populaire progouvernementales irakiennes (PMU) - mieux connu sous le nom de Hashd al-Sha'abi - lors d'une attaque à l'aéroport international de Bagdad au début le 3 janvier. Le Pentagone a déclaré dans un communiqué que le président américain Donald Trump avait ordonné l'attaque.
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