ABNA- Pour Lahcen Daoudi, membre du bureau politique du PJD, «il est temps de rattraper le retard perdu et de capter une part importante de la finance islamique».
Auprès du PJD l’on estime «qu’avec la création d’une banque dédiée aux produits alternatifs, la loi bancaire est déjà désuète». A travers ce projet de loi, la formation de Benkirane espère drainer une grande partie des finances islamiques, estimées à quelque 1.000 milliards de dollars à travers le monde.