Agence de presse AhlulBayt (ABNA) : Lors d’une conférence de presse tenue au siège des Nations unies à New York, Guterres a déclaré :
« Les paroles de solidarité ne suffisent pas. Elles ne nourrissent pas les enfants qui meurent de faim à Gaza. Ce qu’il faut, c’est une action urgente, concrète et coordonnée. »
Une crise humanitaire insoutenable
Depuis plusieurs mois, la bande de Gaza fait face à un blocus implacable et à des bombardements continus de la part du régime sioniste, qui ont détruit des infrastructures civiles essentielles, notamment les hôpitaux, les écoles, les réseaux d’eau et les entrepôts alimentaires.
Plus de la moitié de la population, dont des centaines de milliers d’enfants, est confrontée à une famine aiguë, selon les agences onusiennes sur le terrain.
L’inaction internationale dénoncée
Le chef de l’ONU a vivement critiqué l’absence de volonté politique de la part de certaines puissances mondiales.
« Trop de discours, pas assez d’aide. Les enfants de Gaza ne peuvent pas manger des déclarations. Ils ont besoin de nourriture, de soins, de paix », a-t-il affirmé.
Il a également réitéré son appel à un cessez-le-feu immédiat, à la levée du blocus et à l’accès sans entrave de l’aide humanitaire.
Un appel à la conscience du monde
Cette déclaration du Secrétaire général intervient alors que les rapports des organisations humanitaires font état d’une situation proche de l’effondrement total. Les Nations unies mettent en garde contre un génocide silencieux en cours, si des mesures urgentes ne sont pas prises.
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