Agence de presse AhlulBayt (ABNA) : Dans un discours prononcé lors de la prière du vendredi à Jakarta, capitale de l’Indonésie, le président du Parlement iranien, Mohammad Bagher Qalibaf, a dénoncé les crimes que le régime israélien d’apartheid continue de commettre contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza.
Le responsable iranien a souligné la souffrance des enfants à Gaza causée par les attaques de l’armée sioniste, ainsi que la famine, le manque d’eau et de médicaments dont souffre la région.
« Aujourd’hui, les yeux du peuple de Gaza, des enfants de Gaza, des femmes de Gaza, des malades de Gaza sont tournés vers nous. Ils demandent que nous soyons à leurs côtés. Ils nous demandent d’être la voix de leur oppression et de ne pas les abandonner en ces jours difficiles », a-t-il ajouté.
Faisant référence à un avertissement du fondateur de la Révolution islamique d’Iran, l’Imam Khomeiny (paix à son âme), selon lequel le régime israélien est une tumeur cancéreuse pour le monde islamique et qu’il faut y faire face, Qalibaf a souligné qu’aujourd’hui, non seulement les musulmans, mais aussi tous les amoureux de la liberté dans le monde crient cette vérité.
À ce sujet, il a précisé que la nation iranienne a toujours soutenu le peuple palestinien de toutes les manières possibles, et qu’aucune pression ni menace n’a pu l’empêcher de remplir ce devoir humain et islamique, et qu’elle ne cessera jamais de soutenir la Palestine à l’avenir.
« Aujourd’hui, c’est notre devoir islamique de rester unis et, par notre unité et notre solidarité, de ne pas permettre au système de l’arrogance mondiale de poursuivre le plus grand génocide que l’histoire ait jamais connu », a-t-il souligné.
Depuis le début de la guerre génocidaire israélienne le 7 octobre 2023, près de 53 000 Palestiniens, en majorité des femmes et des enfants, ont été tués et environ 119 998 ont été blessés à cause des attaques des forces sionistes contre la bande de Gaza.
Israël tente également d’affamer la population en imposant un blocus total à l’entrée de l’aide humanitaire, y compris les denrées alimentaires et les médicaments, dans l’enclave.
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