Mohammed ben Abdel Karim al-Issa, secrétaire général de l'organisation, a déclaré dans un communiqué que cette décision allait à l'encontre de l'orientation de l'islam et du consensus des érudits islamiques, et violait les valeurs internationales et humaines.
Al-Issa, qui est également président de l'Organisation des érudits musulmans, a indiqué que cette décision privait les femmes et les filles de leur droit légitime à l'éducation, et le peuple afghan en général de la contribution des femmes à la prospérité et au développement de la nation.
Il a exhorté le gouvernement à revenir sur sa décision et à adopter les directives des érudits islamiques en la matière.
Arab News
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