Des marches au Brésil pour commémorer la Journée mondiale Al-Quds

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : Grâce à une affiche sur laquelle est apposée l'étiquette # Resistência_é_vitória (La résistance est la victoire), les Brésiliens sont appelés à participer, le vendredi 31 mai, à une marche commémorant la Journée mondiale Al-Quds.

Le dernier vendredi du mois sacré du Ramadan (neuvième mois du calendrier lunaire islamique) est célébré chaque année et aux quatre coins du monde, la Journée mondiale d'Al-Qods a pour but de faire entendre la voix du peuple palestinien opprimé dans le monde entier.
 
Le fondateur de la République islamique d’Iran, l’imam Khomeiny (la paix soit sur lui), a institué la Journée mondiale Al-Qods en août 1979, à la suite du triomphe de la révolution islamique en Iran.


Depuis lors, ces marches sont célébrées dans le monde entier, y compris en Europe et en Amérique latine. Cette commémoration sert de tribune pour que justice soit rendue à la cause palestinienne et que la communauté internationale soit informée des crimes israéliens commis dans les terres palestiniennes occupées.

Cette année, des millions d'activistes du monde entier se préparent à organiser des manifestations à l'occasion de la Journée mondiale Al-Qods dans des pays tels que la Turquie, le Liban, l'Espagne, le Royaume-Uni, le Venezuela et bien d'autres.
 
En 2018, des milliers de Brésiliens sont descendus dans les rues de Sao Paulo à l'occasion de la Journée mondiale Al-Qods pour manifester leur solidarité avec le peuple palestinien et condamner les crimes du régime d'occupation israélien.

Le régime israélien existe depuis 70 ans (depuis 1948, année de sa fondation illégale sur les territoires de Palestine), réprimant les Palestiniens, les assassinant, les emprisonnant, les expulsant de leurs foyers et agrandissant leurs colonies, déclarés illégaux par le Conseil de sécurité des Nations Unies. (CSNU)
 
Les crimes israéliens contre le peuple palestinien ont suscité une condamnation mondiale. La commission des Nations Unies, qui enquête sur la répression israélienne contre les manifestants palestiniens, parle clairement de "crimes de guerre".

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