Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : En l’occurrence, la volonté, à toute épreuve, de se conformer aux prescriptions coraniques et d’être en paix avec leur conscience devant Dieu vaut bien d’acquitter une contravention annuelle de 500 £ chacun, pour avoir le droit de ne pas arborer sur leur maillot le logo d’une marque de bière « Castle ».
C’est Hashim Mahomed Amla qui fut précurseur en la matière, en étant le premier professionnel de cricket d’Afrique du Sud à refuser de jouer les hommes-sandwiches pour des enseignes dont l’activité s’avère illicite en islam. "La promotion de la bière et l'alcool va à l’encontre des enseignements de l’Islam", répond-il inlassablement à ceux qui continuent de l’interroger sur ce veto irrévocable, qui, hier, faisait sa singularité au sein de son équipe et, aujourd’hui, est presque passé dans les us et coutumes du club, moyennant finance certes, mais sans anathème…
A 23 ans, son compatriote, coreligionnaire, coéquipier et ami Wayne Parnell Dillon marche sur ses pas à grandes enjambées, notamment depuis sa conversion à l’islam en 2011, date de l’aboutissement d’un long cheminement spirituel intime. Ce dernier sait ce qu’il veut et ce qu’il ne veut plus, comme vendre son âme au diable, quitte à en être de sa poche.
La preuve en images, avec ci-dessous Hashim Mahomed Amla, suivi de Wayne Parnell Dillon
Fin/229
C’est Hashim Mahomed Amla qui fut précurseur en la matière, en étant le premier professionnel de cricket d’Afrique du Sud à refuser de jouer les hommes-sandwiches pour des enseignes dont l’activité s’avère illicite en islam. "La promotion de la bière et l'alcool va à l’encontre des enseignements de l’Islam", répond-il inlassablement à ceux qui continuent de l’interroger sur ce veto irrévocable, qui, hier, faisait sa singularité au sein de son équipe et, aujourd’hui, est presque passé dans les us et coutumes du club, moyennant finance certes, mais sans anathème…
A 23 ans, son compatriote, coreligionnaire, coéquipier et ami Wayne Parnell Dillon marche sur ses pas à grandes enjambées, notamment depuis sa conversion à l’islam en 2011, date de l’aboutissement d’un long cheminement spirituel intime. Ce dernier sait ce qu’il veut et ce qu’il ne veut plus, comme vendre son âme au diable, quitte à en être de sa poche.
La preuve en images, avec ci-dessous Hashim Mahomed Amla, suivi de Wayne Parnell Dillon
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