Agence
de presse AhlulBayt (ABNA) : Dans des messages séparés, le ministre
iranien des Affaires étrangères Hossein Amir Abdolahian a adressé jeudi soir
ses félicitations au secrétaire général du Mouvement de la Résistance islamique
du Liban (Hezbollah), Seyed Hasan Nasrallah, et au chef du bureau politique du
Mouvement de la Résistance islamique de Palestine (HAMAS), Ismail Haniya, et le
secrétaire général du Jihad islamique palestinien, Ziad al-Najala, à l'occasion
du début du mois sacré du Ramadan.
Il a également félicité l'arrivée du mois de jeûne musulman à toutes les forces de la Résistance luttant contre le « régime sioniste criminel et haineux », aux familles des martyrs et aux nations fortes et résilientes de Palestine et du Liban.
Il a regretté que les musulmans aient célébré le Ramadan cette année dans des circonstances où l’occupation israélienne « continue de commettre des crimes contre l’humanité et un génocide contre la nation palestinienne opprimée, en particulier contre les femmes et les enfants ». Ceci, a-t-il ajouté, à un moment où « les institutions internationales responsables, y compris le Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU), n’ont pas pris de mesures efficaces et dissuasives pour mettre fin à l’extermination » du peuple palestinien par Israël.
Il a salué « la résistance héroïque, fière et historique des combattants et du peuple palestinien au régime israélien lourdement armé, largement soutenu par l’administration américaine ».
"A la lumière de ces efforts et d'une persévérance digne et honorable, l'ennemi sioniste n'a atteint aucun de ses objectifs déclarés et des signes de l'échec historique de ce régime sont apparus", a souligné Amir Abdolahian, souhaitant la victoire à la nation palestinienne libération de l'ensemble du territoire palestinien occupé, y compris la ville sainte d'Al-Quds (Jérusalem).
Malgré le début du mois sacré du Ramadan, le régime israélien poursuit sa guerre destructrice contre la bande de Gaza, commencée le 7 octobre, et qui a causé la mort de plus de 31 300 Palestiniens, pour la plupart des femmes et des enfants. Cette guerre a également provoqué une catastrophe humaine sans précédent et une destruction généralisée des infrastructures de la bande de Gaza, résultat d'un génocide dans cette région.
Cependant, malgré les énormes dégâts causés dans la bande de Gaza et la mort de dizaines de milliers de civils, le régime n’a obtenu aucun résultat stratégique sur le terrain et reste coincé dans le bourbier de Gaza.
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