Agence
de presse AhlulBayt (ABNA) :
"Grâce à la Révolution islamique, une unité
exemplaire a émergé entre les nations musulmanes sous la forme de l'axe de la
Résistance qui a résisté à l'arrogance et au sionisme et a empêché leur rêve de
dominer le Nil jusqu'à l'Euphrate, créant un nouvel ordre mondial et diviser
les pays [islamiques], y compris l'Iran devienne réalité », lit-on dans une
déclaration du Conseil des gardiens de l'Iran publiée vendredi.
La note, publiée à la veille du 44e anniversaire de la victoire de la Révolution islamique (1979), rappelle que la révolte populaire en Iran s'est produite alors que « le monde occidental, d'une part, cherchait à dépouiller la religion et la spiritualité de la vie des peuples, les sionistes ont constamment humilié les nations musulmanes et ont essayé de créer un nouvel ordre mondial et le monde oriental, de l'autre, a essayé de mener des révolutions communistes dans différents pays.
La révolution islamique a cependant ouvert une nouvelle voie pour les nations libres et généré de l'espoir parmi les peuples opprimés, ajoute le texte.
Face à l'échec de l'Occident, mené par les Etats-Unis, à imposer sa volonté à la République islamique, les ennemis "cherchent à provoquer des émeutes et la sédition dans le pays" pour détourner la nation iranienne de la voie glorieuse de la Révolution, note la note lit et insiste sur le fait que les adversaires, comme par le passé, échoueront dans leurs plans malveillants.
Le Conseil des gardiens note que la grande nation iranienne montrera une fois de plus au monde lors des marches du 11 février qu'elle "reste pleine d'espoir et déterminée sur la voie de la révolution islamique" et atteindra "les sommets de la dignité et du progrès".
Ce samedi, la nation iranienne célébrera le 44e anniversaire de la victoire de la révolution islamique et de la chute de la monarchie pahlavi soutenue par les États-Unis. La révolution iranienne, dirigée par l'imam Khomeiny (que la paix soit sur lui), est toujours vivante et forte malgré les innombrables tentatives de coup d'État et les complots fomentés par les ennemis pour le vaincre, les derniers en date étant les actes de chaos et les émeutes, soutenus de l'étranger, qui se sont produits à la mi-septembre après la mort du jeune Iranien Mahsa Amini.
Dans cette ligne, le ministre iranien des Affaires étrangères, Amir Hossein Abdolahian, a prévenu vendredi dans un message à l'occasion de l'anniversaire de la Révolution, que le pays persan n'est pas le lieu des "coups de velours". "La nation iranienne a prouvé à maintes reprises que l'Iran n'est pas une terre de coups de velours", a-t-il écrit sur Twitter.
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