Agence de presse AhlulBayt

la source : Parstoday
samedi

26 février 2022

13:50:43
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Ukraine : « non » des Juifs à Israël

Les juifs ukrainiens, ne croyant plus en projet de la Terre Promise, ont dit « non » à une offre israélienne d'émigration vers Israël, rapporte le journal en ligne Rai al-Youm dans une note publiée le 25 février.

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : Pourquoi les Juifs ukrainiens refusent-ils d'immigrer en « Israël » malgré des offres alléchantes ? Quelles sont les raisons de ce refus ? Et quel est le message aux Juifs du monde ?

Si la nouvelle rapportée hier par la chaîne 13 de la télévision d’Israël, citant un haut responsable israélien, est vraie, la plupart, sinon la totalité, des Juifs d'Ukraine, qui comptent plus de 200 000 personnes, ont refusé d'immigrer en « Israël » et ont préféré rester dans leur pays, ou immigrer vers d'autres lieux.

Les Juifs ukrainiens ont peut-être été les premiers à dire un grand « non » à l’émigration en Palestine occupée, car ils ne voient tout simplement pas en Israël une patrie sûre, avec un avenir stable. D'ailleurs, ils ne peuvent pas se distinguer de leurs frères ukrainiens, et fuir le pays, à ces moments très critiques de son histoire.

Qui voudrait immigrer et s'installer dans un pays entouré de centaines de milliers de missiles et de drones au Moyen-Orient, qui connaît des changements continus dans ses règles d'engagement, et à la lumière d'un net déclin de sa supériorité militaire, de l'émergence de grandes puissances régionales comme l'Iran ?

Comme les médias israéliens le reconnaissent, les Israéliens ont commencé la migration inverse, ou plutôt la fuite d'Israël vers d’autres pays du monde, notamment en Europe, en Amérique et au Canada, après la dernière bataille « Epée de Qods » face à la Résistance en mai dernier.

La bataille n'a duré que 11 jours et les groupes de résistance ont lancé plus de 4 200 missiles, ayant envoyé six millions d'Israéliens dans des abris anti-bombes, et fermé les deux seuls aéroports. Et certes, cela conduit à l'isolement complet du régime d’Israël. On ne doute pas que les Juifs d'Ukraine connaissent ces faits.

Le rejet par les juifs ukrainiens de la proposition d’Israël témoigne d’une sagesse, d’une rationalité et d’une prise de conscience, et il envoie un message explicite aux autres juifs dans le monde : se distancer du projet sioniste d’un État israélien.

Ukiraine : « non » des Juifs à Israël

Les juifs ukrainiens, ne croyant plus en projet de la Terre Promise, ont dit non à une offre israélienne d'émigration vers Israël.

Le journal en ligne Rai al-Youm dévoile dans une note publiée le 25 février la réponse négative des Juifs ukrainiens à l’offre séduisante de l’immigration de la Palestine occupée, proposée par les usurpateurs israéliens.

Pourquoi les Juifs ukrainiens refusent-ils d'immigrer en « Israël » malgré des offres alléchantes ? Quelles sont les raisons de ce refus ? Et quel est le message qu'il porte pour les Juifs du monde ?

Si la nouvelle rapportée hier par la chaîne 13 de la télévision d’Israël, citant un haut responsable israélien, est vraie, la plupart, sinon la totalité, des Juifs d'Ukraine, qui comptent plus de 200 000 personnes, ont refusé d'immigrer en « Israël » et ont préféré rester dans leur pays, ou immigrer vers d'autres lieux, et cela semble une vraie nouvelle, cette position constitue un choc pour le projet israélien et ses promoteurs, et confirme qu'Israël n'est plus le paradis de la "Terre Promise" dans le yeux de nombreux Juifs.

Les Juifs ukrainiens ont peut-être été les premiers à dire un grand « non » aux tentations israéliennes d'immigrer vers la Palestine occupée, car ils ne voient tout simplement pas en Israël  une patrie sûre qui réalise un avenir stable et les dangers qui l'entourent, comme les dangers qui l'entourent D'ailleurs, ils peuvent ne pas vouloir se distinguer de leurs frères ukrainiens, et fuir le pays, à ces moments très critiques de son histoire.

Qui veut émigrer et s'installer dans un pays entouré de centaines de milliers de missiles et de drones au Moyen-Orient, qui connaît des changements continus dans ses règles d'engagement, et à la lumière d'un net déclin de la supériorité militaire israélienne et de l'émergence de grands des puissances régionales comme l'Iran, en échange du Yémen et des défaites américaines en Syrie ?

Comme les médias en hébreu le reconnaissent, les Israéliens ont commencé la migration inverse, ou plutôt la fuite d'Israël vers d’autres pays du monde, notamment en Europe, en Amérique et au Canada, après la dernière bataille « Epée de Qods » face à la Résistance en mai dernier, qui n'a duré que 11 jours, au cours desquels les groupes de résistance ont lancé plus de 4 200 missiles, ayant envoyé six millions d'Israéliens dans des abris anti-bombes, et fermé les deux seuls aéroports. Et certes, cela conduit à l'isolement complet du régime d’Israël. On ne doute pas que les Juifs d'Ukraine connaissent ces faits bien, et ils ont suivi cette bataille comme la plupart de leurs pairs dans le monde.

Le rejet par les juifs ukrainiens des tentations israéliennes d'émigrer constitue le summum de la sagesse, de la rationalité et de la prise de conscience, et il envoie un message explicite et choquant à la fois aux autres juifs dans le monde, de se distancer du projet sioniste d’un État israélien, dont la durée de vie touche à sa fin, et dont la survie, selon de nombreux experts, est limitée.

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