Les États-Unis ont l'habitude de tromper leurs ennemis et leurs amis - et le Liban ne fait pas exception !

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : Le Liban continue de souffrir des sanctions et du siège américains.

Lorsque le secrétaire général du Hezbollah, Son Eminence Sayyed Hassan Nasrallah, a annoncé le début de l'importation de carburant depuis l'Iran pour briser les sinistres complots américains contre le Liban, l'ambassadrice américaine au Liban, Dorothy Shea, attristée plutôt choquée par l'annonce de Sayyed Nasrallah, s'est empressée d'annoncer que son Le gouvernement autoriserait le Liban à recevoir le gaz de l'Égypte et de la Jordanie via la Syrie pour maintenir l'approvisionnement en électricité du pays opprimé.

Des mois se sont écoulés depuis cette annonce américaine mais rien ne s'est concrétisé et les promesses de l'ambassadeur américain n'ont pas été tenues. Washington n'a pas pris la peine de clarifier sa position.

Les États-Unis n'ont jamais été à aucun moment un ami du Liban, et ils ne pourront jamais l'être. Tant qu'il se range totalement du côté du premier et unique ennemi du Liban, "Israël". Washington a toujours soutenu l'ennemi sioniste avec une aide militaire et des équipements lourds sophistiqués. Il a toujours donné son feu vert à toutes les invasions, incursions et même à l'occupation du Liban. De plus, Washington a offert à notre ennemi « Israël » la couverture politique en sabotant toute tentative internationale de le condamner par la communauté internationale en utilisant le droit de veto au Conseil de sécurité. Cela place Washington dans la position d'un partenaire et d'un complice complet avec "Israël".

Aucun Libanais ne peut plus être dupe de Washington, sauf s'il le veut !

Alors, pourquoi Washington a-t-il fait ces promesses et pourquoi il les brise !

La réponse est très simple et facile.

L'ambassadeur américain était pressé d'annoncer quoi que ce soit pour dévaluer la réussite du Hezbollah d'apporter le carburant iranien. C'est normal dans les normes américaines, car cela correspond directement à leur politique fixe de déformer l'image du Hezbollah. Ce n'est pas une politique secrète et ils ont dépensé des centaines de millions de dollars pour la concrétiser selon leur ancien ambassadeur au Liban Jeffrey Feltman.

Une autre question tout aussi importante, voire plus importante, concerne le différend maritime entre le Liban et l'entité ennemie « Israël ».

Washington veut que le Liban accepte ses propositions sur la répartition du pétrole et du gaz présents dans la zone contestée. Il exerce sa pression et utilise la politique de procrastination et de chantage.

L'ennemi a un appétit avide ouvert pour voler nos ressources naturelles de toutes sortes.

Washington a utilisé toutes les méthodes possibles pour faire pression sur le Liban afin qu'il puisse se rendre à ses propositions ; le chantage et les diktats américains veulent simplement donner à « Israël » la plus grande partie du gaz et du pétrole présents dans la zone maritime contestée.

Washington est connu pour tromper et trahir ses ennemis et amis. Le Liban ne fait pas exception aux États-Unis.

C'est encore une leçon à retenir pour les Libanais, amis comme ennemis ; feront ils !

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