Agence de presse AhlulBayt

la source : Parstoday
vendredi

17 décembre 2021

19:43:44
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Roumanie : une base US dévalisée!

Au sommaire : 1-Bon accord entre Iran/AIEA ? « Bon accord » entre l’Iran et l’AIEA qui a accepté les conditions de Téhéran

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : Le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian a annoncé que son pays était parvenu à un « bon accord » avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) après que cette dernière a accepté les conditions de son pays.

« Hier soir, nous sommes parvenus à un bon accord avec l’AIEA qui pourrait répondre à certaines préoccupations présumées concernant le programme nucléaire pacifique de l’Iran », a déclaré le haut diplomate, lors de la réunion avec des ambassadeurs de la République islamique d’Iran dans les pays voisins, qui s’est tenue mercredi 15 décembre.

Selon M. Amir-Abdollahian l’accord en question aidera à poursuivre et à renforcer la coopération avec l’agence.

Les médias iraniens ont rapporté que l’accord prévoyait d’autoriser l’AIEA à changer les caméras de surveillance de l’installation nucléaire de la Tesa à Karaj, à l’ouest de Téhéran, après avoir terminé la majeure partie de l’enquête judiciaire et sécuritaire sur les caméras qui ont été endommagées le 23 juin dans une opération de sabotage déjouée contre un bâtiment de son organisation de l’énergie atomique (OIEA), à Tesa. Téhéran soupçonne l’entité sioniste d’être derrière cet acte.

L’AIEA avait auparavant acquiescé les conditions préalables de Téhéran, notamment de condamner cet acte de sabotage et d’accepter de faire examiner les caméras par des experts techniques iraniens avant de les placer.

S’agissant des négociations en cours à Vienne pour un retour à l’accord nucléaire, M. Amir-Abdollahian a ajouté que les Iraniens sont « optimistes quant à la possibilité de progresser dans ce cycle de pourparlers si l’autre partie agit de manière réaliste ».

Il a toutefois nié les allégations selon lesquelles il y avait des demandes en dehors de l’accord nucléaire dans les propositions iraniennes », notant que le projet présenté par l’Iran à Vienne était « rédigé à la base de l’accord nucléaire » conclu en 2015.

« Les négociations sont actuellement en cours sur deux projets, dont le premier est le résultat des six rounds précédents », a-t-il rappelé, ajoutant que les autres parties « ont accepté de mettre les nouvelles propositions iraniennes sur la table du dialogue pour parvenir à un texte complet de l’accord ».

Depuis du lancement du 9e tour des négociations, fin novembre, Téhéran réclame entre autres la levée des sanctions qui ont été rétablies par l’administration de l’ex-président américain Donald Trump en 2017, et des garanties qu’aucune partie ne s’en désengagera unilatéralement en cas de changement de gouvernement.

Amir-Abdollahian a exprimé son optimisme quant au fait que « l’autre partie travaillera de manière réaliste afin que nous puissions réaliser un développement dans les pourparlers ».

Le chef de la diplomatie iranienne avait annoncé, plus tôt dans la journée, que les discussions en cours entre le chef de l’Agence iranienne de l’énergie (AIE), Mohammad Eslami, et le directeur général de l’AIEA, Raphael Grossi, « ont permis de progresser et de réduire les écarts sur un certain nombre de questions d’intérêt commun ».

Durant les tractations, l’Iran insiste qu’il n’acceptera pas de nouvel accord ni ne prendra aucun engagement en plus de ce qui avait été indiqué dans l’accord nucléaire dans sa forme originale.

La RII refuse catégoriquement que les négociations sur le nucléaire abordent son programme balistique et ses relations régionales.

2-Russie : la Dérive allemande !

L’Allemagne expulse deux diplomates russes après un meurtre commandité par Moscou

La nouvelle ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a annoncé mercredi que deux diplomates russes en Allemagne avaient été déclarés persona non grata. La décision intervient après la condamnation d’un Russe pour un meurtre directement commandité, selon la Cour de Berlin, par Moscou.

L’Allemagne a décidé, mercredi 15 décembre, d’expulser deux diplomates russes après la condamnation à perpétuité d’un Russe pour le meurtre à Berlin d’un opposant tchétchène directement commandité, selon la justice, par Moscou.

Les autorités russes ont estimé que ce verdict, qui risque d’accroître les tensions diplomatiques avec l’Allemagne, était une « décision politique ».

La Cour de Berlin a reconnu cet homme, désigné sous le nom de Vadim Krasikov, coupable d’avoir tué par balles un Géorgien issu de la minorité tchétchène dans un parc de Berlin, le 23 août 2019. Elle a directement mis en cause les autorités russes qui « ont donné l’ordre à l’accusé de liquider la victime », selon le président de la Cour, Olaf Arnoldi.

La nouvelle ministre des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, qui a promis d’adopter vis-à-vis de la Russie un ton plus ferme que le gouvernement Merkel, a annoncé que deux diplomates russes étaient « déclarés persona non grata ».

Ce meurtre commis sur le sol allemand est une « atteinte grave à la souveraineté de l’État », a-t-elle ajouté, alors que cette affaire a déjà conduit, dans le passé, à l’expulsion de diplomates russes et allemands.

Le Géorgien Tornike Kavtarachvili, 40 ans, a été abattu de trois balles, au cœur de la capitale allemande, une affaire qui a empoisonné les relations entre les deux pays.

Moscou, qui a toujours nié toute implication, a dénoncé un verdict « politique ». « Nous estimons que ce verdict n’est pas objectif, qu’il s’agit d’une décision politique qui envenime sérieusement des relations russo-allemandes qui sans cela étaient déjà difficiles », a déclaré l’ambassadeur de Russie en Allemagne, Sergueï Netchaev.

Ancien dirigeant séparatiste tchétchène, le Géorgien avait combattu contre les forces russes entre 2000 et 2004 et vivait depuis 2016 avec sa famille en Allemagne, où il avait demandé l’asile. Il a été victime d’une « exécution de sang-froid », a affirmé le président de la Cour, qui a également privé le condamné de la possibilité de demander une libération conditionnelle au bout de 15 ans.

Son meurtrier, que le procureur a désigné comme un « commandant d’une unité spéciale des services secrets russes FSB », avait auparavant voyagé de Moscou à Paris puis vers Varsovie et finalement Berlin.

Les faits se sont déroulés à l’heure du déjeuner : le meurtrier, se déplaçant à vélo, s’est approché par-derrière de sa victime et a tiré deux fois avant de l’achever par une balle à bout portant dans la tête. Il a été interpellé près des lieux du meurtre.

Durant son procès, l’accusé a réfuté l’identité que lui prête le Parquet. Par la voix de son avocat Robert Unger, il a affirmé s’appeler Vadim Sokolov, 50 ans, « russe, célibataire et ingénieur en construction ».

Si le Kremlin a toujours nié être derrière cet assassinat, le président Vladimir Poutine a qualifié la victime de « combattant très cruel et sanguinaire ». Il a assuré avoir demandé son extradition, ce que Berlin a démenti.

Fin 2019, l’Allemagne a déjà expulsé deux diplomates russes pour protester contre leur manque de coopération, mesure à laquelle Moscou a répliqué en renvoyant deux diplomates allemands.

L’empoisonnement de l’opposant au Kremlin Alexeï Navalny avant son emprisonnement en Russie, tout comme celui de l’ex-espion russe Sergueï Skripal au Royaume-Uni en 2018, a fait peser de lourdes suspicions sur le rôle des services de sécurité russes dans des opérations violentes. Mais l’implication de Moscou n’a jusqu’ici jamais été prouvée et le Kremlin a toujours systématiquement nié la moindre responsabilité.

Ces affaires se sont ajoutées à une série de tensions diplomatiques entre Berlin et Moscou. Avant les élections législatives allemandes, la justice a ouvert une enquête pour cyberespionnage de députés, derrière lequel Berlin soupçonne la main du Kremlin. À cela s’ajoutent de nombreuses divergences sur le plan géopolitique, comme le conflit armé dans l’est de l’Ukraine.

Le nouveau chancelier, Olaf Scholz, a une nouvelle fois averti mercredi que Moscou paierait un « prix élevé » en cas de violation des frontières ukrainiennes. Washington, les Européens et Kiev accusent depuis quelques semaines la Russie de préparatifs pour envahir l’Ukraine, ce que le Kremlin dément.

Avec AFP et Reuters

3-Ukraine : l’offre russe aux USA

La Russie remet à Washington ses propositions en vue d’apaiser les tensions autour de l’Ukraine

Moscou a annoncé avoir remis aux États-Unis une liste de propositions « pour la sécurité de la Russie ». Celles-ci concernent des garanties juridiques visant notamment à ce que l’OTAN ne s’étende pas à des pays voisins de la Russie, tels que l’Ukraine. Ce 15 décembre, la Russie a annoncé avoir remis aux États-Unis une liste de propositions sur les garanties juridiques qu’elle réclame pour assurer sa sécurité qu’elle juge menacée, sur fond de tensions autour de l’Ukraine.

« Nos propositions concrètes ont été remises aujourd’hui à des responsables américains par le ministère russe des Affaires étrangères », a déclaré à la presse Iouri Ouchakov, conseiller de Vladimir Poutine.

Des propositions « visant à élaborer des garanties juridiques pour la sécurité de la Russie » ont notamment été remises à la secrétaire d’État adjointe américaine chargée de l’Europe, Karen Donfried. Elle était allée à Moscou après avoir effectué une visite à Kiev. Iouri Ouchakov a ajouté qu’il allait s’entretenir lui-même au téléphone à ce sujet plus tard dans la journée avec un « responsable de l’administration américaine », sans plus de précisions.

Moscou demande à l’OTAN de ne pas incorporer de pays voisins de la Russie. Le conseiller du Kremlin a souligné que, lors d’une rencontre qui s’est tenue le même jour en vidéoconférence avec son homologue chinois Xi Jinping, le président russe Vladimir Poutine a dit espérer que « la réaction des Américains et de l’OTAN à ces propositions sera positive ». 

Le 14 décembre, Vladimir Poutine a appelé à des négociations « immédiates » avec l’OTAN et les États-Unis sur ces garanties qu’il avait réclamées début décembre au président américain Joe Biden. La Russie s’oppose notamment à tout élargissement supplémentaire de l’Alliance atlantique à des pays qui lui sont frontaliers – comme l’Ukraine – et souhaite obtenir des garanties juridiques qui excluraient une telle possibilité à l’avenir. De leur côté, Washington et l’Union européenne accusent la Russie d’avoir rassemblé des troupes aux frontières de l’Ukraine et la menacent de sanctions économiques sans précédent en cas d’agression.

Source : RT France

4-Emirats : le F-35 chassé par le Su-57?

Les Émirats arabes unis ne sont plus certains de vouloir des avions F-35A. Le Su-75 russe peut-il en profiter ?

Quelques heures avant la fin du mandat du président Trump, le 21 janvier, les Émirats arabes unis donnèrent leur accord au sujet de l’achat de 50 avions de combat F-35A et de 18 drones MALE [Moyenne Altitude Longue Endurance] MQ-9B SeaGuardian auprès des États-Unis. Cet empressement se justifiait alors par la crainte de voir la nouvelle administration américaine contrarier ces acquisitions.

En effet, plusieurs élus démocrates du Congrès s’opposèrent à ces deux contrats potentiels pour au moins trois raisons : la crainte de voir ces équipements utilisés par les forces émiraties au Yémen et en Libye, le risque d’espionnage, Abu Dhabi étant proche de Pékin et de Moscou, et la remise en cause de l’engagement des États-Unis à garantir la supériorité opérationnelle d’Israël dans la région, dans le cadre du « Qualitative Military Edge » [QME]. Ce qui n’avait plus lieu d’être, aux yeux de l’administration Trump, étant donné la normalisation des relations diplomatiques entre l’État hébreu et les Émirats.

Quoi qu’il en soit, l’une des premières mesures prises par le département d’État après l’investiture de M. Biden à la Maison-Blanche fut d’imposer un moratoire sur les ventes d’armes destinées aux Émirats arabes unis.

Il s’agit de « faire en sorte que les ventes d’armes par les États-Unis répondent à nos objectifs stratégiques », avait alors expliqué un porte-parole de la diplomatie américaine. C’est une « mesure de routine administrative typique de la plupart des transitions, qui démontre [notre] engagement en faveur de la transparence et de la bonne gouvernance », avait-il également justifié.

Depuis, les États-Unis ont mis de nouvelles conditions pour livrer les F-35A aux forces aériennes émiraties. Selon l’agence Bloomberg, Washington exigerait d’Abu Dhabi de retirer de son réseau 5G tous les équipements fournis par le groupe chinois Huawei. Et cela pour éviter tout risque d’espionnage.

« Bien que les réseaux de communication de l’avion [F-35] soient considérés comme relativement à l’abri des écoutes chinoises, la présence de Huawei dans les réseaux [émiratis] pourrait potentiellement permettre à la Chine d’espionner les pilotes et les sous-traitants […] dans les bases où le F-35 serait déployé », a expliqué l’agence de presse.

Cela étant, le 3 décembre, les Émirats arabes unis ont officialisé la commande de 80 avions de combat Rafale F4 auprès de la France, ces appareils devant remplacer les Mirage 2000-9 en service au sein de leurs forces aériennes. A priori, cet achat ne devait pas remettre en cause celui des 50 F-35A.

Sauf que, dix jours plus tard, un responsable émirati a confirmé, auprès de l’agence Reuters, une information du Wall Street Journal selon laquelle les Émirats arabes unis ont informé les États-Unis de leur décision de mettre un terme aux discussions concernant l’achat des 50 F-35A.

« Des exigences techniques, des restrictions [posées par la partie américaine] en matière de souveraineté opérationnelle, et l’analyse du rapport coûts/bénéfices ont conduit à cette réévaluation », a expliqué ce responsable.

Ce 15 décembre, le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken a assuré que les États-Unis sont toujours « prêts » à vendre des F-35A aux Émirats… « si c’est ce qu’ils veulent ». Cependant, il a également souligné la nécessité de « garantir » qu’Israël préserve sa « supériorité » militaire. « Donc nous voulions nous assurer que nous pouvions mener un examen approfondi de toutes les technologies vendues ou transférées à d’autres partenaires dans la région, y compris les Émirats », a-t-il expliqué.

Auparavant, John Kirby, le porte-parole du Pentagone, avait expliqué que le partenariat stratégique entre Washington et Abu Dhabi « allait au-delà d’un contrat de vente d’armes ». Et de préciser : « Nous insisterons toujours […] sur un certain nombre d’exigences pour les utilisateurs finaux » [des armes américaines]. Les exigences en matière de « protection des équipements de défense américains sont universelles, non négociables et non spécifiques aux Émirats arabes unis ».

Si la volonté d’acquérir des F-35A bat de l’aile à Abu Dhabi, alors le Su-75 « Checkmate », dévoilé en juillet par Sukhoï, pourrait être une alternative. D’ailleurs, les responsables russes n’ont jamais caché qu’ils comptaient les Émirats arabes unis parmi les clients potentiels de ce nouvel appareil.

« Ce n’est pas un hasard si la première présentation internationale de ce nouveau chasseur de cinquième génération a eu lieu au Dubai Airshow », a d’ailleurs commenté Sergueï Chemezov, le patron du conglomérat Rostec, dont Sukhoï fait partie.

Source : Opex 360

5-Roumanie : Une base US dévalisée !

Des tonnes de carburant volées sur une base US, la Défense roumaine blâme la « culture locale ».

Le vol de carburant pour deux millions de dollars aux militaires américains déployés en Roumanie a reçu une explication inattendue de la part du ministre roumain de la Défense. Selon lui, les Américains sont responsables de ne pas assez connaître la culture du pays.

Si la Roumanie envisage de moderniser la base Mihail Kogalniceanu, qui abrite actuellement le contingent américain, pour en faire l’une des bases les plus importantes de l’OTAN en Europe de l’Est, le Pentagone investigue pour l’heure sur l’important vol de carburant par des employés roumains.

Le 24 novembre, la Direction des enquêtes sur le crime organisé et le terrorisme (DIICOT) a annoncé enquêter sur sept Roumains suspectés d’avoir volé sur quatre années pour près de deux millions de dollars de carburant, soit quelque 1,5 million de litres de diesel volé soit directement depuis l’intérieur de la base, soit dans des zones du comté de Constanta où se déroulaient des exercices de l’OTAN.

D’après le quotidien Adevarul, depuis 2017, un groupe d’employés d’une entreprise locale se rendait à des intervalles bien établis à la base pour alimenter les générateurs. À l’entrée, ils présentaient les justificatifs, après quoi ils continuaient leur chemin jusqu’à chaque générateur. Cependant, comme l’indiquent des sources judiciaires, les suspects ne fournissaient pas aux générateurs la quantité de carburant nécessaire, mais en gardaient une partie dans leur réservoir. Lorsqu’ils quittaient la base, personne ne vérifiait s’il restait ou non du carburant. Mais le manque constant de carburant a fini par être remarqué et, en avril 2021, les autorités américaines ont informé la DIICOT.

C’est seulement le 9 décembre que le Pentagone a confirmé, sans entrer dans les détails de l’affaire, qu’une enquête était en cours.

« Nous soutenons et coopérons pleinement avec nos partenaires et responsables roumains au cours de cette enquête, et nous apprécions leurs efforts », a déclaré Vonnie Wright, responsable du Commandement des forces des États-Unis en Europe, cité par le journal américain Stars and Stripes.

Quant à la réaction des autorités roumaines, elle fut quelque peu inattendue. Le ministre de la Défense Vasile Dincu, en poste depuis le 26 novembre a imputé aux Américains leur « négligence », expliquant qu’ils n’ont pas pris en compte les particularités de la culture roumaine du vol.

« C’était un point de ravitaillement quelque part à l’extérieur de la base. J’appellerais cela une négligence de la part des Américains, qui ne connaissent pas assez notre culture », a lâché Dincu dans une interview à la chaîne Digi 24.

Comme le rappelle le quotidien Adevarul, les forces américaines utilisent la base de Mihail Kogalniceanu depuis 1999 alors que la Roumanie est devenue membre de l’OTAN en 2004. Au printemps de cette année, le ministère roumain de la Défense a lancé un appel d’offres de 2,15 milliards de lei (plus de 400 millions d’euros) pour sa modernisation. Le contrat comprend, entre autres, la construction d’une piste, d’un système de balisage et de radionavigation, ainsi que d’un bâtiment pour accueillir un simulateur de vol. Après l’achèvement de tous les travaux, précise le média, la base aérienne Mihail Kogalniceanu deviendrait l’une des plus grandes bases de l’OTAN en Europe de l’Est, avec une capacité de 10 000 soldats.

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