L'Iran rappelle au secrétaire général de l'OTAN que cette entité, ces dernières années, n'a réussi qu'à provoquer la destruction, les guerres et l'instabilité dans la région.

Avant les frappes réalisées par l’Iran contre leurs bases militaires en Irak, les troupes américaines en Syrie ont opéré un redéploiement dans le nord-est de ce pays, par prévention contre toute éventuelle attaque. Prenant en compte les mises en garde lancées par les dirigeants iraniens de vouloir à tout prix venger l’assassinat du général Qassem Soleimani, tués dans la nuit du 3 janvier dans un raid américain à Bagdad.

Le président américain Donald Trump a prétendu que tout allait «bien», en réaction aux frappes meurtrières nocturnes menées par Téhéran contre la base stratégique américaine d’Ain al-Assad (ouest) et d’une autre base à Erbil (Kurdistan irakien).

Le Président iranien a commenté les frappes, de ce mercredi 8 janvier, des bases américaines en Irak par Téhéran.

Des unités de l’armée arabe syrienne opérant dans la banlieue libérée dans la zone de Maaret Nomane ont repoussé des attaques terroristes contre des points de contrôle militaires aux environs des deux villages de Samaka et Barsa dans la banlieue sud-est d’Idleb.

L'Iran a attaqué la base d'Ain Al-Asad en Irak, où les forces américaines sont déployées avec des dizaines de missiles sol-sol, rapporte le Guardian Corps.

Les Brigades irakiennes du Hezbollah ont menacé de viser les exportations de pétrole des pays arabes du Golfe vers les États-Unis, au cas où le Président américain, Donald Trump imposerait des sanctions à l’Irak.

En tant qu’émissaire spécial du président Bachar al-Assad, le général Ali Mamlouk, chef du Bureau de sécurité nationale, a visité Téhéran et rencontré le Secrétaire du Haut Conseil de la Sécurité nationale en Iran, Ali Chamkhani.

Le chef de la direction politique du Mouvement de résistance islamique de Palestine (HAMAS) prononce un discours lors des funérailles du général Soleimani à Téhéran.

Le chef de la révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, prie devant le corps actuel du général Soleimani, qui est tombé martyr dans une attaque américaine.

Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a invité à Bruxelles le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, annonce dimanche un communiqué de l’UE, qui exhorte une nouvelle fois à la « désescalade » des tensions au Moyen-Orient.

Le nouveau commandant de la Force Quds du CGRI, le général de brigade Ismail Qaani, promet de se venger des États-Unis pour le meurtre du lieutenant-général iranien Soleimani.

Au total, 170 législateurs irakiens ont signé un projet de loi exigeant le retrait des forces militaires américaines du pays à la suite de l'assassinat du lieutenant-général Qassem Soleimani, commandant de la Force Quds du Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) iranien, et le commandant en second des unités de mobilisation populaire (MPU), Abu Mahdi al-Muhandis.

Une armée perse rejette les tentatives américaines. Pour calmer la tension, aggravée par le meurtre du général Soleimani, et indique clairement que l'Iran vengera cette mort.

Le chef du bloc parlementaire du Hezbollah « Loyauté à la Résistance », le député Mohammad Raad, a souligné lors d’une cérémonie commémorative tenue dans la ville méridionale de Duwair, que « l’assassinat américain du général Qassem Soleimani et d’Abou Mahdi Al-Muhandis et leurs frères est un assassinat lâche et certainement il ne restera pas impuni », soulignant que « ces deux grands chefs ne représentent pas leurs pays mais l’ensemble de l’axe de la résistance et donc la réponse à leur assasssinat doit représenter cette représentation ».